AND NOTHING ELSE MATTERS "Et qu'importe le reste." A ceux qui aujourd'hui ont vu leurs amis, leur famille, un film à la télé, ou mieux : au cinéma ; A tous ceux qui ont repensé, avec nostalgie, à quelqu'un ou à quelque chose, et qui en ont souri ; A ceux qui vivent l'instant présent, aux rêveurs un pied dans l'avenir, et aux mélancoliques qui regardent par la fenêtre ; à Moi qui écris ces lignes ; ...Enfin à tous les autres : Ceux qui sont malades, ceux qui sont tristes, ceux qui sont enfermés... Ceux qui ne rêvent plus ; A tous ceux à qui il manque quelque chose ou quelqu'un, à tous ceux qui n'ont plus la force de se battre, à toutes les victimes de l'existence, partout en ce monde, pour qui "Chance" est le nom d'un cheval de tiercé ; A toutes celles et à tous ceux qui sont en vie, quelque part, en ce monde, je dis, même si c'est facile, même si ça l'est trop, que "Qu'importe le reste." ...Demain, aux premiers dards du soleil ou aux premiers chants des oiseaux, pourra arriver le pire comme le meilleur, comme le banal. Sans occasion spéciale. Demain vous pourrez ou non réussir, échouer, aimer, briser, rêver, abandonner. Mourir. ...Vivre. Serguian Une goutte d'eau dans l'Océan Ça ne sert à rien. Ça ne sert JAMAIS à rien. JAMAIS. On naît, on vit... Et on meurt. Et tout ce qu'on fait entre deux... ne sert à rien. A rien du tout. Dans cinquante ans, les "jeunes de maintenant" seront toujours pires que ceux d'hier, toujours plus d'innocents mourront sous les bombes ou le joug de la faim, et personne, nulle part et jamais, ne sera réellement libre. Derrière des barreaux, le regard braqué sur la Lune ou en famille, les yeux fixés sur la montre, nous serons TOUJOURS des morts en devenir, prisonniers du destin qu'on est forcé de choisir. C'est notre drame. Choisir, essayer, avancer. Pour rien. Pour une goutte d'eau dans l'océan. Nous n'y sommes pas obligés, cependant. Nul n'est condamné à aimer puis à souffrir, à rêver pour ensuite se réveiller ; nul n'est forcé par une main invisible à escalader pour lâcher prise ou à croire pour ne jamais voir. ...Vous pouvez aussi, ici et maintenant, mettre fin à vos jours, dans ce qui semble être la tentative la plus valable d'échappatoire, un choix presque moins futile que les autres, mais qui, à une échelle dépassant simplement la clôture de votre jardin, votre pâté de maisons, les frontières de votre état ou quatre kilomètres d'altitude pour les moins ignorés d'entre nous, n'aura pas plus d'impact que les autres. Comme une goutte d'eau dans l'océan. A partir de là, toute notion de sens ayant déserté les débats devenus plus superficiels que les sujets qui les fondent, tout, absolument tout, devient indispensable, puisqu'inutile. Parce que quand plus rien n'a de sens véritable, alors naît la liberté d'inventer. D'inventer des règles, des normes, et des manières de les transgresser. De décider de ce qui est juste et censé, et de s'en écarter. de punir, et de récompenser. Puis de remettre tout en cause, en s'interrogeant sur le bien-fondé de nos système perchés si haut qu'on en aura oublié la base. Un peu comme si tout l'océan reposait sur une seule goutte d'eau. La vie est dure parce qu'on s'y heurte, belle parce qu'on l'admire, tenace parce qu'on l'éprouve... courte parce qu'on ne la menace pas, trop accroché à ce qu'on a construit sur du vide. Il est un art propre à seul l'humain de connaître la taille de la goutte d'eau qu'il jette dans l'océan, et de se faire juste assez petit pour qu'elle lui paraisse juste assez immense à donner plus ou moins le tournis. La vie est un rêve qui a des lois intransigeantes. C'est un songe trop matériel, une illusion où l'on se coupe pour de vrai, où l'on s'essouffle en haut des escaliers, où l'on aime toujours plus fort qu'on ne peut haïr, et où l'on souffre toujours cent millions de fois plus qu'on ne pourra jamais exulter. C'est une cage dont on ne voit pas les barreaux, un masque à oxygène sous l'écrasante masse d'eau de l'océan, où tombent nos larmes pour de vrai. Comme autant de gouttes qui le constituent. La vie n'est pas un cadeau parce qu'en son absence on ne peut la souhaiter, et parce qu'il n'y a personne à remercier pour son obtention, mais elle est presque une punition dans bien des cas. Elle n'est jamais le mieux, mais il y a forcément pire. Forcément. C'est une goutte d'eau dans l'océan. Battez-vous. Ou pas. Aidez ceux qui en on plus besoin que vous, ou détestez ce qui en on moins besoin que vous au point que ça en paraît indécent. ...Moi ce soir, je sais comme je l'ai toujours su, et le saurai toujours, aussi longtemps que "toujours" existera, la direction que j'emprunterai. Je ne cesserai jamais. JAMAIS de courir vite, de soulever lourd, de crier fort et de glander jusqu'à l'inanition. Je n'arrêterai jamais d'inventer le sens de la vie, puis de décider que c'est bidon, et de recommencer. Mais surtout, je ferai en sorte que le plus de gens possible puissent faire la même chose, dans les mêmes conditions. Parce que la vie nous concerne tous, hommes ou roseaux, tigres ou bactéries, profs de maths ou poissons. Tout le monde devrait souhaiter à tout le monde de pouvoir souhaiter. "Les héros n'acceptent pas le monde tel qu'il est". C'est mon choix, même si ça ne sert à rien. C'est ma goutte d'eau dans l'océan. Serguian Laissez votre avis en commentaires ! Antifa « On est en guerre », entends-je partout ; « On est en guerre », paraît-il. « On la trouvait plutôt jolie, Lili. Elle arrivait de Somalie, Lili, dans un wagon plein d’immigrés, qui venaient tous de leur plein gré, vider les poubelles à Paris ». « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris », chantait le grand Renaud. …Des dizaines d’années plus tard, ses vers sont plus que jamais d’actualité. …Ainsi, Jacques, peut-on supputer que les français ont de tous temps été soit terrorisés, soit stupides ? La déclaration Universelle des droits de l’Homme stipule pourtant qu’un Homme, avec un grand H, dispose de toute liberté de quitter, ou de revenir dans son pays comme bon lui semble. Et, stupides ou pas, apeurés ou non, vous êtes quand même, bande de pourritures, capables de concevoir que ladite déclaration se place bien AU-DESSUS de vos lois à la con qui changent tous les cinq ans, et de vos frontières immatérielles tracées sur une carte par des connards, au gré de carnages auxquels bien sûr, lesdits connards se sont bien gardés de prendre part de manière directe ?? …Et oui parce que si vous prenez un planisphère, ou même une Map Monde, qui représente la Terre telle que la verrait un astronaute tout là-haut dans l’infini cosmos, vous ne verrez pas, ça c’est une certitude, de ligne séparant la France de l’Allemagne, pas plus que la Normandie de la Picardie. …Qui vous a dit ce qui était votre pays, et ce qui ne l’était pas ? Où vous étiez chez vous, et où n’importe quel être humain né ailleurs ne serait jamais le bienvenu ? …Un être humain est chez lui partout dans le monde. Ça, c’est la vérité nue et absolue, et que vous soyez dans la difficulté ou que vous ayez peur, vous vous devez de donner, ou à tout le moins de partager avec ceux qui ont moins que vous, et ont bien plus peur. Parce que ceux-là ont, comme, vous, des bras, des jambes, et un cerveau. Et même des préjugés. Nous sommes tous fils du grand dragon. Nous sommes tous les mêmes. « Moi, j’en suis venu à voter contre l’expansion de l’Islam », dixit un pote l’autre jour. Bah oui, mon gars, c’est un fait : l’Islam est un être vivant armé de lance-grenades et de cimeterres, qui marche, court et rampe, c’est une entité pensante et meurtrière… Commence par voter contre le vol perpétuel dont tu es la victime depuis ta naissance, quand le dirigeant déchu d’une multinationale en faillite est remercié de son incompétence par un chèque de quatorze millions d’euros, ou peu s’en faut… Les vingt-quatre mille immigrés accueillis par la France en deux ans, et qui font tant scandale quand l’Allemagne en reçoit autant en trois semaines, nous coûteront toujours moins cher que ce fumier, ou même que seulement cinquante de ces pourritures parasitaires qu’on appelle « députés », voire trois cents de ces grévistes permanents qu’on nomme « profs ». Parce que si sur les plus d’un milliard de musulmans que compte le monde moderne, seulement un tiers sont arabes (eh oui…), sur les millions de fachos français, cent pour cent ne sont à mon humble avis ni trop cons, ni tant apeurés. Car je ne pourrai jamais concevoir qu’on puisse être bête ou avoir peur au point de croire Zemmour quand il affirme que quatre-vingt-dix pour cent des détenus sont étrangers sans être allé en prison vérifier, ou Philippot quand il clame que cent pour cent des mosquées sont des lieux de radicalisation sans en avoir visité une. Non, personne n’est con à ce point. Personne n’a autant peur. C’est la haine, le plus abject des sentiments, qui vous guide, moisissures ambulantes. VOUS êtes l’ennemi, dans cette guerre. …Et croyez-moi sur parole : personne n’a envie d’être notre ennemi. Nous sommes sans pitié, avec nos ennemis. Serguian Laissez votre avis en commentaires ! |
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